Il vend la princesse, parce que c’est l’intérêt de sa religion, et cherché par surcroît dans l’opération – sans ce trait la race ne serait pas complète – un tout bédit pénéfisse. A côté de l’Arabe qui se bat, il y a en Algérie une race abjecte qui ne vit que de trafics honteux, qui pressure jusqu’au sang les malheureux qui tombent sous ses grifres, qui s’enrichit de la dépouille d’autrui. La France, l’Allemagne, la Russie, ne seront jamais des patries pour les Juifs ; et ceux-ci ont parfaitement raison, à mon avis, de n’être nulle part patriotes et de suivre sous toutes les latitudes une politique distincte, personnelle, la politique juive. J’ai eu pour camarade de collège, et pour ami intime depuis, Henri Didier, député de l’Ariège sous l’Empire, mort en 1868. Il était le petit-fils de Didier, fusillé à Grenoble sous la Restauration, à la suite d’une conspiration bonapartiste, et fils du Didier qui était secrétaire général au ministère de l’intérieur, quand eut lieu l’arrestation de la duchesse de Berry sur la dénonciation de Deutz. Réfléchissez une minute, et demandez-vous pourquoi un Raynal, un Bischoffsheim, un Leven, un Cahen, un Mayer, seraient attachés à la France des Croisades, de Bouvines, de Marignan, de Fontenoy, de saint Louis, de Henri IV et de Louis XIV.
» Henri se cacha, Deutz fut introduit. Faites-en autant, s’il en est encore temps, mais ne vous étonnez pas ; laissez à Victor Hugo, qui a fini par confier ses petits-enfants à la garde d’un Juif, les tirades indignées contre Deutz. Au moment où Deutz s’approchait, M. Didier lui fît signe de la main de s’arrêter ; puis, prenant les pincettes, il s’en servit pour tendre les deux paquets l’un après l’autre à Deutz, après quoi il lui indiqua la porte. Maillot à deux étoiles des Bleus : l’incroyable fiasco ! Le maillot de Zidane, où figure la mention « Brésil France 12-07-98 » brodée sur le torse, était exposé à Zurich (Suisse) au musée de la Fifa, qui l’avait reçu en prêt en 2017 de la part de son propriétaire, un collectionneur, avant de le lui rendre récemment. Cavour, qui prétendait que l’affaire Mortara l’avait autant aidé à faire l’Italie que Garibaldi, donnait quelques ducats au père éploré ; les journaux libéraux français d’alors, les Débats, l’Opinion nationale, le Siècle, etc., qui applaudissaient à l’unité italienne, comme ils devaient, avec leur clairvoyance et leur patriotisme ordinaires, applaudir à l’unité allemande, entonnaient leur grand air de bravoure contre le fanatisme éternel, le Saint-Office, le despotisme papal ; ils versaient des larmes sur ce père qu’ils appelaient « une victime sacerdotale ».
Mon ami m’a raconté un jour, en me faisant promettre de ne livrer le fait à la publicité qu’après sa mort, que son père, le jour du payement, l’avait fait cacher, lui, enfant âgé de dix ans à cette époque, derrière une tapisserie de son cabinet, et lui avait dit : « Regarde bien ce qui va se passer et ne l’oublie jamais. Serait-ce par une capacité surnaturelle qu’ils parviennent si rapidement à un si haut degré de fortune ? Les Juifs, écrit Capefigue dans son Histoire des grandes opérations financières, une fois Paris ouvert à leurs spéculations, y vinrent de toutes parts et y prirent de toutes mains ; ils débutèrent, d’abord timides, par le petit commerce, la fourniture des chevaux et la petite usure, l’agiotage limité sur les assignats ; ils n’avaient pas encore le pied assez ferme sur le sol pour oser la banque, qu’ils laissaient aux Genevois ; ils se contentèrent d’acheter les vieux meubles des châteaux, les reliques des églises, les bijoux confisqués, de prêter quelques louis aux émigrés en échange de bonnes valeurs. Je sais bien que, selon eux, une France nouvelle serait née dans les massacres de Septembre ; qu’elle se serait purifiée de ses vieilles gloires avec le sang qui dégouttait des têtes coupées de vieillards et de femmes ; que la Révolution aurait été, selon l’expression du Juif Salvador, « un nouveau Sinaï ».
Je ne vois pas très bien pourquoi l’on reprocherait aux Juifs de penser ainsi. Vous trouverez Paris et Versailles prêts à vous recevoir et à Paris quelqu’un bien heureux de votre retour. À Versailles ! criait Th. Socialiste en paroles, agent provocateur, espion de l’étranger, il trompe à la fois les ouvriers qui se fient à lui, la police qui le paye et le gouvernement qui l’emploie ; il pousse les naïfs dans la Commune, les dénonce ensuite aux Versaillais, s’éclipse quand on veut tirer l’affaire au clair, et reparaît quand le calme s’est fait, pour déclarer qu’il a souffert pour la bonne cause. », indique l’hebdomadaire, qui explique que la FFF s’est retrouvée « dans l’impossibilité de parer ses champions du monde » et a donc « fait appel à une société de flocage afin de broder une deuxième étoile » sur les jerseys portés par Antoine Griezmann, Kylian Mbappé et leurs partenaires. Non : une tête de linotte conduit cet être sans peur. Le préfet de Lespée y rétablit d’abord l’ordre à la façon d’Espivent, on cita de lui cette phrase : Je sais ce que c’est qu’une émeute : la canaille ne me fait pas peur !