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Geoffroy Hauwen Photographer www.geoffroy-hauwen.com Le comte d’Arnim, au contraire, voulait guérir la France, pour que l’Europe ne tombât pas malade grâce ce voisinage. « C’est un prince qui n’a pas assez de préjugés », a-t-on dit de lui ; il serait plus juste de dire que c’est un prince qui a, ou qui du moins a eu longtemps tous les préjugés du modernisme. Aussi, lorsque le goût de l’instruction ou l’ennui nous portent à visiter des contrées éloignées, c’est toujours avec la résolution d’y revenir que nous quittons les lieux qui nous ont vus naître ; ce désir augmente à mesure que la curiosité est satisfaite ; et quelque intéressant qu’ait été le voyage, l’instant le plus doux est celui du retour. On s’attache aux pays pour lesquels on a combattu : le comte de Paris, dont le calme courage avait excité l’admiration de l’armée dans la guerre de sécession, a gardé, de son séjour là-bas, un goût regrettable pour des institutions qui ne conviennent pas à la France. Je suis revenue une fois, disait souvent la duchesse d’Angoulême, mais je ne consentirai pas à revenir une seconde fois. Les Français sont arrivés trois fois en finale et se sont classés six fois sur neuf dans les quatre premiers.

J’ai entendu vingt fois des ouvriers, qui allaient à leur travail ou qui en revenaient, dire philosophiquement : « Qu’ils ramènent leur Chambord et qu’on nous flanque la paix ! On nous en dit des raisons, mais nous n’écoutons pas. Le comte Harry d’Arnim n’était pas un simple favori comme Cinq-Mars, essayant de renverser, pour plaire à une coterie, un ministre supérieur à lui ; il était considéré par le prince de Bismark lui-même comme le seul homme qui pût le remplacer. Le prince de Bismark, qui agissait alors de concert avec les Juifs, brisa comme verre le malheureux d’Arnim, qui, privé de ses emplois, dépouillé de tous ses titres, alla mourir en Suisse du chagrin d’avoir perdu une si belle partie. J’ai pleuré à la mort du pauvre petit Prince Impérial plus que la plupart de ceux que l’Empire avait comblés de bienfaits. Si la Foi n’est plus enseignée par l’oreille, elle sera enseignée par la faim ! Aux âges passés, le matin du Sacre, l’archevêque de Reims allait frapper à la porte de la chambre occupée par le roi dans les appartements du Chapitre.

Ajoutons que trois mille zouaves pontificaux, parfaitement organisés et qui pouvaient se rendre à Versailles sans éveiller l’attention, étaient disposés à venir faire au Roi une escorte d’honneur. C’est ainsi que les gens de Versailles comprenaient et voulaient la réconciliation. Un mot suffit à peindre le comte de Chambord, le mot de Gœthe sur Hamlet : « C’est une âme chargée d’un grand dessein et incapable de l’accomplir. Nulle âme de roi ne fut plus haute, plus généreuse, plus droite ; mais le tempérament n’y était pas. Autrefois un prétendant dans cette situation eût trouvé quelque compagnon comme en avait eu Henri IV, n’ayant pas sa langue dans sa poche et parlant à son roi en camarade. Quelle était la situation ? La femme mariée fait son commerce n’importe où, mais toujours loin de son domicile. Il s’inspirait de la maxime de Philippe II : « Mieux vaut éteindre l’incendie dans la maison de son voisin que de l’attendre dans la sienne. Les Bleus sont un peu mieux et le bloc est remonté d’une bonne quinzaine de mètres. Puis, un peu plus tard la grande-duchesse Hélène l’invita à venir à Pétersbourg. La phrase m’étonna un peu ; elle était donnée cependant comme absolument authentique, puisqu’elle était écrite non seulement en italiques, mais placée entre guillemets.

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